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Différemment du mois de Décembre : Les femmes, voici le malheur que vos propres mains attirent

Les mèches. C’est le sujet que nous consacrons aux femmes en ce mois de décembre. C’est bien le dernier mois et la veille d’une année. 

Faut-il encore le rappeler qu’à la fin de l’année, particulièrement en mois de décembre, toute préparation pour fêter la nouvelle année commence. Pour les femmes, la tresse d’où les mèches dans leur catégorie font partie des toutes premières choses. Mais d’où viennent réellement les mèches humaines encore appelées naturelles et comment elles sont faites pour être un malheur pour les femmes ? Suivez. De nos jours, il est connu de tous que les mèches artificielles ont été rejointes depuis quelques années sur le marché par les mèches humaines ou naturelles. Fabriquées principalement en Inde sur le continent asiatique, elles proviennent des temples où les femmes et leurs enfants vont offrir leur chevelure aux dieux adorés dans le pays. Au pied de ces esprits, se trouvent des coiffeurs qui rasent ces femmes. Les cheveux recueillis sont ensuite vendus aux usines. Citons le cas de Tirupati, situé dans la ville d’Andhra Pradesh, au Sud de l’Inde, est le premier pourvoyeur au monde de ces cheveux humains. Également la Chine qui fournit des mèches artificielles, tout comme le Brésil, à destination de l’Afrique, l’Europe et des États-Unis. L’autre catégorie des mèches, est les mèches semi-naturelles. Elles sont vendues avec l’étiquette « 100% haïr », un mélange entre des cheveux naturels, écaillés et des fibres synthétiques ou parfois des fibres animales à savoir, crin de cheval, yack, poney, etc. Il faut souligner que les mèches naturelles sont plus proches des cheveux qu’on voit sur la tête des femmes européennes, mais qui sont leurs propres cheveux et non tissage ou chapeau. Triés, nettoyés lavés et désinfectés, ils sont conditionnés et mis en vente.

Des centaines de mille pour attirer du malheur

Aujourd’hui, la majorité des mèches naturelles pour tissage et extensions proviennent des cheveux femmes indiennes qui ont l’avantage d’allier souplesse et résistance. Il faut noter que les mèches artificielles ou synthétiques, moins coûteuses, ont une durée de vie qui varie de deux semaines à un mois. En ce qui concerne les mèches naturelles, elles sont plus coûteuses avec 32.000 Francs CFA le prix minimum, le paquet. Sinon ces mèches peuvent coûter des centaines de mille, avec une durée de vie plus longue. Malgré la cherté de ces accessoires de beauté (si l’on peut le dire ainsi), les femmes ne sont pas pour autant découragées. Elles sont prêtes à tout, même au point de se faire sacrifier par les cybercriminels communément appelés « gaïmans » au Bénin, pour être belles. Par connaissance à des esprits qu’engendrent ces mèches, certains responsables religieux interdisent carrément le port des mèches au sein de leur temple. Pour ces derniers, elles sont perçues comme diaboliques. D’autres voient dans les tresses à base de ces mèches, un symbole de la perte de l’identité. Il convient de relever que les mèches, sont une aliénation culturelle. Perçues comme un phénomène de mode, parce que certaines femmes cherchent sans cesse, le nouveau visage et de leur comportement d’infidélité dans le souci de plaire à leur homme afin de ne pas perdre leur place auprès de ce dernier, elles sont obligées de tenter un aventure de beauté même si c’est risqué sa vie pourvu qu’elle plaire à son homme. Ces femmes ignorent les esprits invoqués sur ces mèches et sont aujourd’hui les cas de divorce répété sans oublier la prostitution masquée où elles sont les célibataires insouciantes.

 Dieu a-t-il faire l’erreur de créer la femme africaine différemment ?

Pour la plupart des femmes de nos jours, elles pensent que la beauté réside dans les cheveux et que se sont les cheveux des blanches qui sont le symbole de la beauté. Une seule chose qu’elles oublient, est bien qu’il n’y a pas plus belle femme au monde que la femme africaine notamment avec son teint (noir) naturel et ses beaux cheveux crépus. La légende de la musique béninoise, africaine et internationale, Angélique Kidjo, est un exemple palpable et vivant qui devrait faire école pour les autres femmes africaines. Peut-on dire que le Tout-puissant Dieu créateur de l’univers y compris tout ce qu’il contient, a-t-il fait une erreur de créer la femme africaine différente de celle européenne, asiatique ou autre ? Les femmes africaines détiennent la réponse. En attendant qu’elles nous servent la réponse et la vraie, la rédaction differenceinfobenin.com du Groupe de presse DIFFÉRENCE et celle du journal quotidien « DIFFÉRENCE INFO » souhaitent un paisible mois de décembre et une agréable fin de l’année 2020.

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