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Fin de la 36ème session du Conseil des ministres du CAMES : la ministre Marie Odile Atanasso, élue présidente et fait Commandeur de l’Ordre International des Palmes Académiques de l’institution 

(Photo : Marie Odile Atanasso, Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique (MESRS) du Bénin)

Les projecteurs sont éteints sur la 36ème Session du Conseil Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur (CAMES) tenue à Cotonou, capitale économique du Bénin le 30 mai dernier. Sur les marches de la clôture des travaux de la session de Cotonou, des lauriers sont tombés sur la tête du ministre Marie Odile Atanasso et des honneurs pour le Bénin. En cause, la première responsable du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique (MESRS) du Bénin et cinq autres universitaires ont été distingués. À en croire le Secrétaire Général du CAMES, Pr Bertrand Mbatchi, la ministre Marie Odile Atanasso a été élevée au grade de Commandeur de l’Ordre International des Palmes Académiques du Conseil Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur, (OIPA/CAMES).

Selon le SG CAMES, cette distinction est non seulement la reconnaissance de l’engagement mis au service de l’enseignement supérieur par la ministre mais et surtout des efforts consentis pour la promotion de la recherche au Bénin. La distinction est également le symbole du leadership effectif dans l’organisation et la réussite de la session de Cotonou. Faut-il le rappeler, Marie Odile Atanasso, ce sont des idées nouvelles, de l’ambition et de l’esprit d’initiative pour le sous-secteur de l’enseignement supérieur. Le Secrétariat Général du CAMES ne dira pas le contraire. « Cette décoration se justifie bien sans doute pour cette dame à la fois compétente et impassible. », s’est justifié, Pr Bertrand Mbatchi. Une justification qui témoigne bien des résultats obtenus par la ministre à la tête du département ministériel de l’Enseignements Supérieur et de la Recherche Scientifique au Bénin.

Le prix de la concrétisation des réformes du chef de l’État

La réputation d’efficacité de Marie Odile Atanasso est synonyme des réformes courageuses et ambitieuses engagées par le chef de l’État béninois, Patrice Talon depuis son arrivée à la Marina et concrétisées au MESRS par la Commandeur de l’Ordre International des Palmes Académiques du CAMES depuis sa nomination. Au Conseil Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur (CAMES), la ministre Marie Odile Atanasso fait montre d’une présence remarquable, d’un volontarisme irréprochable, d’une détermination sans pareille et d’une endurance sans failles. Toutes ces qualités, avec lesquelles elle contribue à l’avancement de l’institution faîtière qu’est le CAMES, ont été aussi reconnues et saluées par ses pairs. Sa proactivité dans l’organisation sans faille couronnée de succès de la 36ème  session du CAMES dans son pays, n’est plus à démontrer. Ce qui a connu des mérites d’Officiers et de Commandeurs, trois (03) de chaque côté dans l’Ordre International des Palmes Académiques (OIPA) du CAMES.

Vue très discrète, mais reconnue très pragmatique, deux lauriers étaient tombés sur la tête du ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique du Bénin. À l’occasion de la même 36ème session à Cotonou, Marie Odile Atanasso a été élue présidente du Conseil Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur (CAMES). Le Bénin assure ainsi la présidence du CAMES pour les douze (12) mois à venir, soit un an. La ministre des Enseignements Supérieur et de la Recherche Scientifique du Bénin succède à cet effet à son homologue du Cameroun, Pr Jacques Fame Ndongo. De la nouvelle présidente Marie Odile Atanasso, il est attendu de nombreux défis à relever. Le premier d’entre eux est d’imprimer une marque de gouvernance progressiste à l’institution.

Mais si les béninois se posent de questions à savoir si la ministre Marie Odile Atanasso parviendra-t-elle à relever ce premier défi, eh bien, du côté des universitaires africains et malgaches, aucun doute, la certitude est à son comble. Ses pairs qui l’ont porté à la tête du CAMES conviennent qu’elle dispose bien de ressources pour répondre à leurs attentes et celles du monde universitaire. Car, il est important de rappeler que la ministre imprime déjà et ce depuis un bon moment le même dynamisme au niveau des instances régionales. À titre illustratif, on peut citer l’École Africaine des Métiers de l’Architecture et de l’Urbanisme (EAMAU) et l’UEMOA où il faut relever que la ministre Marie Odile Atanasso est également présidente du Conseil des ministres de cet espace universitaire.

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