Ça fait moins trois (-3) dans le rang des hors-la-loi dans le département de l’Ouémé, au Sud-est du Bénin. La population de Porto-Novo, la capitale du pays peut bien compter sur la Police Républicaine pour sa quiétude. En effet, cette force de sécurité publique béninoise a une fois de plus montré sa détermination à protéger les personnes et leurs biens, sur toute l’étendue du territoire national. La Police Républicaine en a fait la preuve ce week-end. En cause, l’unité du commissariat du cinquième (5ème) arrondissement de Porto-Novo a éliminé trois présumés braqueurs. Il faut dire que dans la nuit du samedi 24 au dimanche 25 octobre, ces hors-la-loi ont mordu la poussière dans une démonstration d’échange de tir avec les éléments du jeune et compétent Lieutenant Robert Tonato. Il faut noter que selon les sources policières, les braqueurs éliminés étaient recherchés pour des faits de vols de motos. Vols à main armée, arme de fabrication artisanale, notamment, précisent-elles. D’après les enquêtes minutieusement menées par la Police Républicaine, elle a pu mettre la main sur deux des trois braqueurs.
Les derniers moments de l’année
Parmi ces deux malfrats, ne figure pas le cerveau de la bande. Les forces de l’ordre continuent leurs enquêtes, mais cette fois-ci avec les deux membres appréhendés. Ils sont devenus le principal conducteur de la Police Républicaine vers la cabale du 3ème braqueur de la bande. Au cours de l’interpellation de ce dernier, le cerveau de la bande, sans compter sur le savoir faire et l’expérience des forces de l’ordre, il a ouvert le feu sur les éléments du 5ème arrondissement, Ouando, de la ville de Porto-Novo. Une situation qui a voulu être profitable pour les deux autres qui sont rentrés dans le jeu de leur meneur. Sans hésiter, ils ont été tous neutralisés par la Police Républicaine. Il convient de relever que ce sont les derniers mois de l’année, bientôt novembre, le onzième mois, que les divorcés sociaux prennent pour dicter leurs lois. C’est bien le moment pour la Police Républicaine de donner raison au gouvernement du président Patrice Talon qui a jugé bon fusionner la Gendarmerie et la Police nationale, il y a bientôt trois ans.
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