Photo : Le président béninois, Patrice Talon
Il avait cinquante-huit ans (58) quand le peuple béninois lui a confié sa destinée, le mercredi 6 avril 2016, dans sa capitale, Porto-Novo. Il s’agit bien de Patrice Talon. Une identité béninoise que les filles et fils du Bénin ne pourront jamais oublier. Depuis cette date symbolique dans la vie du digne fils de Ouidah et de ses compatriotes, le développement durable du Bénin est amorcé. « Nous, Patrice Athanase Guillaume Talon, jurons de respecter la Constitution, de nous conduire en loyal et fidèle serviteur du peuple. En cas de parjure, que nous subissons les rigueurs de la loi ». C’est par ces expressions sacrées que le nouveau président de la République démocratiquement élu dans la continuité de l’alternance au pays, a pris conscience qu’ « il n’y a pas d’ambitions trop grandes pour un État, de même qu’il n’y a pas d’épreuves qu’il ne puisse surmonter ». Ambitions ? L’ancien faiseur de roi, aujourd’hui sur le trône, en avait trop pour son pays. C’est dans un document de politique de développement que l’homme a exprimé, suivant ses prénoms (Patrice Athanase Guillaume), son désir immodéré de gloire avec en germe, le « Bénin Révélé » : Programme d’Actions du Gouvernement (PAG). C’est dans ce document que Patrice Talon peaufine la beauté du Bénin dans plusieurs secteurs politico socio économique depuis le lundi 26 décembre 2016.
Épreuves de la gestion d’État
De 58 ans à 64 ans qu’il célèbre ce jour, dimanche 1er mai, Patrice Talon a, en moins d’un quinquennat, surmonté des épreuves de la gestion d’État qu’aucun président n’a jamais surmonté avant lui. Rappelons qu’il est le seul et l’unique chef de l’État le plus têtu que le Bénin ait connu depuis son indépendance, le lundi 1er août 1960, proclamée par le président feu Hubert Koutoukou Maga, au Palais des Gouverneurs, à Porto-Novo. En effet, dans la concrétisation des réformes dont regorge, le PAG, la légitime marche de son gouvernement vers la prospérité a été éprouvée par des difficultés de parcours. Le lundi 1er janvier 2018, sa réforme sur la sécurité a donné naissance à la Police Républicaine (fusion de la Gendarmerie Nationale et de la Police Nationale). Il n’y a aucun pays au monde où il y zéro insécurité, mais les résultats de cette réforme est l’acte de jugement d’un divorce consommé entre les hors-la-loi et la paisible population béninoise. Toujours sur le chemin de la concrétisation des réformes, le chef de l’exécutif béninois et son équipe gouvernementale ont affronté les défis politiques auxquels ils ont fait face avec clairvoyance et sérénité. Alors, dans leur volonté commune d’améliorer les pratiques politiques et partisanes, à travers la réforme de la Charte des partis politiques et du Code électoral, les béninois n’ont pas compris la Rupture.
Vaillamment maîtrisé
L’expression de leurs incompréhensions a été affichée au sens des violences qui ont ébranlé la paix du pays à l’occasion des élections législatives du 28 avril 2019, mais ayant prévu sa gouvernance, Patrice Talon et son gouvernement ont vaillamment maîtrisé ces violences. Une maîtrise qui a permis au locataire du Palais de La Marina, à Cotonou, la capitale économique du Bénin, d’indiquer le Nouveau Départ aux animateurs de la vie politique béninoise en organisant un Dialogue politique, du jeudi 10 au samedi 12 octobre 2019. Le multipartisme, ce n’est pas forcément avoir une pléthore de partis. Et les béninois l’ont compris aujourd’hui au regard de l’objectif de la réforme du système partisan qui n’était pas de réduire le nombre de partis, de détruire le tissu partisan, mais de le rationaliser. Les réalisations en moins d’un quinquennat témoignent palpablement de cela dans tout le pays, du Nord au Sud allant de l’Est à l’Ouest en passant par le Centre, les béninois sont stupéfaits de la gouvernance de l’homme des réformes. Sur le plan de l’urbanisation et du cadre de vie du Bénin, la pilule « déguerpissement » a été dure et amère, mais les concitoyens du premier citoyen béninois l’ont avalée. Les marchés urbains construits et bientôt ouverts, et l’asphaltage donnent raison à leur ténacité au point où d’aucuns se perdent dans leur propre quartier puis retrouvés.
L’un des trophées des victoires
Oui, grâce à la réussite historique d’un secteur, les béninois se retrouvent heureusement. Secteur de l’énergie. C’est bien de ce secteur, le socle du développement durable de tout un pays au monde, qu’il s’agit. Le secteur de l’énergie, l’un des trophées des victoires du gouvernement Talon 1, a connu, au Bénin, depuis avril 2016, la mise en œuvre de plusieurs actions majeures pour l’obtention des résultats palpables. Les progrès inédits enregistrés dans ce secteur sont appréciés par les béninois et les acteurs du système de l’énergie électrique. Inutile de rappeler que Patrice Talon a hérité d’un pays de zéro mégawatt au compteur général de son énergie au beau milieu d’une année. Alors, dans sa volonté immédiate de voir ses compatriotes passés les fêtes de fin d’année 2016 dans la lumière, son gouvernement, à travers le ministre de l’Énergie, Dona Jean-Claude Houssou, a résolu en urgence la crise énergétique électrique. En un temps record, 180 mégawatts ont été mobilisés à travers la location de groupes électrogènes qui ne sera plus un recours avant la fin de l’année 2019 pour produire de l’électricité au Bénin, selon la promesse de cet exécutif. Et cela a été historiquement tenu. En effet, le jeudi 29 août de l’année indiquée, le pays a inauguré respectueusement sa première Centrale électrique, à savoir la Centrale thermique dual fuel de 127 mégawatts, construite au Sud.
Le Bénin produit d’électricité
Elle est dénommée Centrale Maria-Gléta « 1 » pour avoir été non seulement construite en moins de cinq ans, mais aussi et surtout faisant face à celle « fantôme » construite de 2006 à 2016 sous l’ancien président béninois, Thomas Boni Yayi et ses ministres de l’Énergie, relevant la mauvaise gestion d’État, notamment dans le secteur de l’énergie. Au Bénin, la durée moyenne des pannes est remarquablement réduite. Du côté de la Société Béninoise d’Énergie Électrique (SBEE), ses interventions ont considérablement augmenté sensiblement à 35% pour la satisfaction de sa clientèle. Inédit, n’est-ce pas ? Puisque la SBEE n’est plus appelée « Société Béninoise Echi Eta ». Le réseau HT (Haute Tension) a connu une croissance de 60%, passant de 1073 km (en 56 ans) à près de 1800 km entre 2016 et 2021, soit près de 700 km en moins de cinq ans sous la gouvernance Talon. Cet exploit a mis fin au voyage de l’énergie électrique qui, avant, pour aller dans le Nord-Bénin en quittant le Sud du pays, doit passer par le Sud et le Nord du Togo. Toujours durant le premier quinquennat, l’engagement de Patrice Talon dans les énergies renouvelables a été affiché avec le lancement de la construction de la première Centrale solaire dans le département du Plateau. Objectif : augmenter la capacité des moyens nationaux de production d’électricité du Bénin.
La vie retrouvée
Ces efforts louables dans le secteur de l’énergie ont renforcé ceux déployés dans d’autres secteurs de la vie socioéconomique comme celui de l’eau. Du Nord au Sud allant de l’Est à l’Ouest sans oublier le Centre, les concitoyens du digne fils de Ouidah, en occurrence ceux des zones rurales, ont retrouvé la vie. Ceci, à travers l’Adduction d’Eau Villageoise (AEV) équipée d’un système de pompage solaire issu d’ouvrages d’électrification rurale réalisés par l’ABERME. Il faut noter qu’à voir seulement ce qui a été réalisée le dernier semestre de 2021, un seul article ne peut pas énumérer toute la réalisation de 2016 à 2021. Le rapport semestriel sur l’accès universel à l’eau potable au Bénin, est clair. Ces mêmes béninois ont été considérés socialement avec le Projet ARCH. Dans le secteur du transport, au plan terrestre, des milliers de kilomètres de route ont été construits, solidifiant le réseau routier béninois sur toute l’étendue du pays sans compter bien sûr l’asphaltage. Au plan naval, le Port Autonome de Cotonou (PAC) a subi de grands travaux lui permettant de répondre aux normes internationales et de recevoir les grands bateaux à son quai. Concernant l’aérien, l’aéroport international Cardinal Bernardin Gantin (CBG) de Cotonou a été également réhabilité en attendant la construction de l’aéroport aux normes internationales de Glo-Djigbé dont les premières équations ont été résolues et les travaux bientôt lancés.
Symbole de prospérité
Les microcrédits aux plus pauvres sont allés vers les concitoyens de Patrice Talon qui en ont besoin pour mener des activités génératrices de revenus avec Alafia sur toute l’étendue du territoire national béninois. Ces derniers ont beau attendu, mais leur attente n’a pas été vaine. En effet, le nouveau mécanisme mis en place comporte de réelles innovations qui vont simplifier la vie aux béninoises et béninois, demandeurs de crédits et qui pourront le recevoir rapidement et directement dans leurs téléphones sans besoin de connexion internet. La volonté sociale du chef de la Rupture est la combinaison de deux symboles, à savoir, le symbole incontournable de l’autonomisation des couches démunies : « Microcrédit » et le symbole de prospérité : « Alafia ». Tout ceci, dans la droite ligne de l’assainissement des finances publiques. À la fourniture de l’eau et de l’électricité aux béninois, ajoutons les cantines scolaires mise en œuvre dans toutes les écoles à travers un important outil : Programme National d’Alimentation Scolaire Intégré (PNASI). Inutile de rappeler l’objectif : lutter contre la déscolarisation et la malnutrition. Parlant de la malnutrition, il s’agit du repas. Les écoliers en reçoivent et chaud trois fois par jour. Les cantines scolaires fonctionnent très bien et avec le suivi personnel du patron du Nouveau Départ qui poursuit depuis 2016, un seul et unique but qu’on ne dira jamais assez.
À chacun sa manière, joyeux anniversaire
Patrice Talon cherche inlassablement à « améliorer l’accès à l’enseignement primaire et à accroître le taux de rétention scolaire », en faisant à travers le PNASI, le droit à l’alimentation, sa priorité. Une croissance forte, des investissements soutenus, un déficit et une dette maîtrisés… Le Programme d’Actions du Gouvernement (PAG), en marche depuis décembre 2016, a simplement et méthodiquement remis le pays sur les rails. Il urge de reconnaître que pour dire tout ce que le gouvernement de Patrice Talon fait depuis l’arrivée de l’ancien faiseur de roi sur le trône en 2016, un article ne peut jamais le permettre. C’est bien inouï ! Chacun ayant sa manière de souhaiter un joyeux anniversaire à une personne chère, voici donc la nôtre au sein de notre organe. Tout le personnel de la rédaction differenceinfobenin.com et celle du journal quotidien « Différence Info » du Groupe de presse « DIFFÉRENCE », notamment le Promoteur Directeur Général, Bienvenu DJISSA, souhaite un très joyeux et heureux anniversaire au Chef de l’État, Chef du Gouvernement, le président de la République, Son Excellence Monsieur Patrice Athanase Guillaume Talon. Moins friand des médias : il s’expose moins et travaille dans la discrétion totale. Ses apparitions étant rares, elles ont souvent de la portée et plus d’impact à travers ses ministres. Une pensée spéciale à cette occasion exceptionnelle au ministre de l’Énergie, Dona Jean-Claude Houssou.
Que le bonheur et la grâce vous accompagne. demeure sous l’abri du très haut.ps 91,1
…et qu’il vous accorde la capacité de transformer entièrement notre cher pays le Bénin