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Dangbo : Un corps sans vie en putréfaction totale découvert au bord de la route 

Photo : Le corps sans vie découvert


La population de la commune de Dangbo s’est réveillée ce matin avec un drame. En cause, ce jeudi 11 juillet, les riverains de la route Sota – Tovè ont été plongés dans la stupéfaction totale dans leur circulation quotidienne. Problème ? Un corps sans vie en état de décomposition avancée a été découvert au bord de ladite route. Paniqués, ils ont informé la police républicaine. Les éléments du commissariat de Dangbo-Centre et de ceux du commissariat de l’arrondissement de Houêtin-Houédomin se sont dépêchés sur les lieux du drame. Également présent à leurs côtés, le service médical de la capitale de l’Hygiene. Ensemble, dans une ceinture sécuritaire mise en place par les forces de sécurité publique, ils ont procédé à la constatation afin de relever les premières indications sur les vraies causes d’un crime bien crapuleux.

Inhumée sans délai

D’après les premières observations liminaires, il s’agit d’un homme dont l’état de la décomposition avancée de son corps sans vie ne facilite pas immédiatement l’identification de son identité. Mieux, au regard de cette putréfaction, la victime sera inhumée sans délai suivant les dispositions en vigueur au Bénin liées aux corps non-identifiés. Au sens des zones d’ombres sur les conditions ce drame et qui restent à élucider, même si la piste de l’insécurité est privilégiée, les autorités locales invitent la population à plus de vigilance. Rappelons que la commune de Dangbo est l’une des quatre communes que compte la Vallée de l’Ouémé, dans le département de l’Ouémé, au Sud-est du Bénin. 

La crue

Comme les communes d’Adjohoun, des Aguégués et de Bonou, la commune que dirige Maoudo Djossou et située à une dizaine de minutes de route de Porto-Novo, la capitale béninoise, est aussi confrontée aux difficultés de la crue des eaux. Il faut indiquer que c’est la période d’élévation du fleuve Ouémé dans cette partie du Bénin. Elle dure au maximum quatre mois au cours desquels les cérémonies funéraires communément appelées « AGO » ne sont pas suspendues. D’où la vigilance sur la consommation de l’alcool et sur le chargement de barques pour la circulation fluviale.

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