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Gestion d’État : Attention ! Patrice Talon ne quitte pas le Pouvoir en 2026, regardez Adidjatou Mathys et Romuald Wadagni

Photo : Le président béninois, Patrice Talon, à Cotonou, ce mardi 26 avril


Oui, la rédaction differenceinfobenin.com et celle du journal quotidien « Différence Info » du Groupe de presse « DIFFÉRENCE » savaient bien que le titre de cet article allait faire retentir leurs contacts (téléphones, mails, réseaux sociaux). Mais c’est en effet, au regard de la grande stupéfaction du peuple sur la gestion d’État du président Patrice Talon, qui dépasse l’entendement humain et qui prend la direction sociale à une visite de croisière. Les concitoyens du chef du gouvernement béninois ne s’étonnent peut-être plus pour s’être désormais habitués à avaler de la pilule amère de l’homme des réformes courageuses, ambitieuses et grandioses. Mais ce sont les membres de son gouvernement qui sont à présent profondément éblouis de la gouvernance du développeur-né, à l’image de ses ministres du Travail et de la Fonction Publique, Adidjatou Mathys et, de l’Économie et des Finances, ministre d’État, Romuald Wadagni. Ils n’en reviennent pas à la démonstration sociétale de leur patron, comme vous pouvez le voir dans la vidéo ci-dessous, à la fin de l’article. En respectant la Constitution actuellement en vigueur au Bénin, Patrice Talon est conscient de finir avec la fonction du président de la République au terme de son deuxième mandat en cours.

« C’est vrai que la question de la pension des présidents d’institutions, de ceux qui ont exercé de hautes fonctions comme Président de la République (…). Un ancien président de la République ne doit pas être dans le dénuement et devenir un clochard dans la rue et ne plus avoir à manger. Même pour l’image du pays ce n’est pas bien. »

Patrice Talon

Mais l’homme est tellement déterminé à faire le maximum pour arriver à la destination Bénin Révélé en un quinquennat qu’il ne s’en rend pas compte que cette fonction n’est pas encore prête à finir avec lui dans quatre ans. Ce ne sont pas vos rédactions qui le disent, mais plutôt l’expression manifeste de la joie des concitoyens du chef de l’État béninois au sens de la qualité des échanges et des avancées inédites qui s’enregistrent à la rencontre Gouvernement – Partenaires sociaux, au Palais de La Marina, à Cotonou, la capitale économique du pays. Les revendications sociales ont pris la direction du vent favorable sous la gouvernance Talon. « C’est vrai que la question de la pension des présidents d’institutions, de ceux qui ont exercé de hautes fonctions comme Président de la République, Président de l’Assemblée nationale requiert notre attention ; parce que ce sont des fonctions de représentation. Un ancien président de la République ne doit pas être dans le dénuement et devenir un clochard dans la rue et ne plus avoir à manger. Même pour l’image du pays ce n’est pas bien. Il y a quelques fonctions pour lesquelles il faut effectivement qu’il y ait une prise en charge, parce que ces personnes continuent de représenter le pays même s’ils ne sont plus dans la fonction. », a d’abord soigné Patrice Talon face aux syndicalistes.

« Il fallait déjà être assez nanti pour penser se permettre un croissant de 700 Francs CFA au petit-déjeuner, car il y a dans ce même pays des personnes qui vivent à moins de 500 Francs CFA, la journée, sinon pire. »

Patrice Talon

Pour défendre l’accusation gratuite dont son gouvernement a l’objet au sujet de la proposition de loi relatif à la pension des députés qui une initiative des Parlementaires béninois eux-mêmes, il a été convaincant. Dans sa défense et son opposition à cette initiative des députés des 83 députés à l’Assemblée nationale issus des deux partis politiques que prône le chef de l’exécutif béninois, Patrice Talon a touché du fond fin, la réalité sociale de son pays qu’il connaît si bien avant d’obtenir la confiance à deux reprises de ses compatriotes pour présider à ses destinées. « Il fallait déjà être assez nanti pour penser se permettre un croissant de 700 Francs CFA au petit-déjeuner, car il y a dans ce même pays des personnes qui vivent à moins de 500 Francs CFA, la journée, sinon pire. », disait Patrice Talon, il y a quelques années. Engageant son équipe gouvernementale dans le sens que les efforts doivent se déployer pour ceux-là et pour les sortir de cette extrême précarité, celui pour qui le ministre béninois de l’Énergie, Dona Jean-Claude Houssou, a interdit de comparer son gouvernement aux précédents, est resté constant dans cet engagement six ans après. Écoutons dans l’extrait ci-dessous, les vérités amères de Patrice Talon qui fait remuer la tête à ses collaborateurs directs, déposées devant la réflexion des partenaires sociaux au profit des gagne-petit de la République.

Le peuple, peut-il vraiment laisser cet homme plus qu’un humain, mais sociable, quitter le Pouvoir en 2026 ? Wait and see ! Nous, à notre niveau, nous allons continuer notre bénévolat jusqu’à cette période-là comme nous le faisons d’ailleurs depuis le mercredi 6 avril 2016. C’est simplement un sacerdoce !

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