Parmi tant d’autres soucis majeurs pour le développement durable du Bénin, le Gouvernement béninois a à cœur l’accès à l’eau potable. Le chef de l’État béninois, Patrice Talon, a donc doté son gouvernement d’un plan d’action des politiques. À cet effet, dans le cadre du financement du projet de renforcement des systèmes d’Alimentation en Eau Potable (AEP), trois (03) Communes du Bénin viennent de bénéficier ce projet gouvernemental à impact capital de son point de vue social. Il s’agit des Communes de Boukoumbé, Covè et Zagnanado. C’était au cours du conseil des ministres du mercredi 13 mars 2019, que le gouvernement béninois a donné son feu vert. Et ceci a été chose faite grâce à l’autorisation de ratification de l’accord de prêt du Fonds Koweitien pour le Développement Economique Arabe (FKDEA). De ce fait, plusieurs âmes béninoises bénéficieront dans les jours à venir de cette source de vie, qu’est l’eau. Avec méthode et détermination, l’objectif de développement durable qu’engendre l’accès à l’eau potable pour tous au Bénin, est en bonne marche d’être atteint. Depuis ce mercredi 13 mars, trois (03) Communes s’ajoutent à la liste de plusieurs autres Communes qui ont déjà bénéficié de ce projet du Gouvernement béninois à caractère uniquement social. Cet acte que le Gouvernement du Bénin a posé en rendant favorable à la ratification de cet accord de prêt avec le Fonds Koweitien pour le Développement Economique Arabe (FKDEA), est la preuve que le pays est plus que jamais déterminé à atteindre les Objectifs du Développement Durable (ODD).
Ultime accompagnement du parlement
À travers cet acte du Gouvernement du Bénin, les trois (03) Communes, Boukoumbé, Covè et Zagnanado, bien que déjà alimentées, verront dans les prochains jours, leur potentialité renforcée en matière de système d’eau, au grand bonheur de plusieurs centaines d’âmes de béninois qui vivent dans ces régions du pays et du développement accru de leurs différentes activités de revenu ; ceci pour l’amélioration de leurs conditions de vie. Conscient donc de la croissance démographique, on peut alors affirmer sans ambages que l’acte que le Gouvernement béninois a posé, est un acte anticipateur. Car il n’a pas voulu attendre la saison de forte demande mais a plutôt cherché à renforcer le système et augmenter la quantité déjà disponible, réglant de ce coup un problème sanitaire. Car l’accès à l’eau, c’est aussi un palliatif indubitable aux maladies hydriques qui sévissent dans certaines agglomérations des communes retenues. Plus besoin de démontrer combien l’acte est louable et mérite d’être accompagné. Dans ce cas précis, la responsabilité revient donc aux parlementaires béninois qui ne doivent pas aller par quatre chemins pour accompagner le Gouvernement béninois en autorisant la ratification de cet accord au Palais des Gouverneurs à Porto-Novo. De ce fait, ces honorables élus, prendraient part à la concrétisation de la vision de l’exécutif. Une vision qui n’est rien d’autre que de mettre à disposition des béninois, quelle que soit leur situation sur le territoire national, de l’eau potable à l’échéance 2021 comme l’a prévu le Programme d’Action du Gouvernement (PAG).
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