Un peu plus d’une semaine après l’attaque contre des installations pétrolières en Arabie Saoudite, la France du président Emmanuel Macron, l’Allemagne de la grande chancelière Angela Merkel et le Royaume-Uni du premier-ministre Boris Johnson ont, ce lundi 23 septembre, à leur tour accusé l’Iran d’en être « responsable » et l’ont exhorté à « s’abstenir de toute nouvelle provocation ».
À l’inverse, les États-Unis et l’Arabie Saoudite avaient instantanément pointé du doigt Téhéran, suivis donc quelques jours plus tard de la France, de l’Allemagne et du Royaume-Uni qui s’étaient jusqu’alors abstenus de désigner un coupable. Finalement, elles l’ont fait en début de semaine.
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