Photo : Le ministre béninois de l’Énergie, Dona Jean-Claude Houssou, sur le site de la Centrale thermique de Mari-Gléta 2, ce lundi 30 décembre 2019
Une chose est de voir une nouvelle année et l’autre est de la fêter en lumière. Au Bénin, l’équation coupure intempestive d’électricité communément appelée « échi éta » par les béninois, est désormais résolue. La compétence du professeur agrégé en énergie, Dona Jean-Claude Houssou, déniché en Europe et faire rentrer au Bénin par le promoteur en énergie, le président Patrice Talon, a permis de résoudre cette équation énergétique. Bien qu’étant certain sur l’état qualitatif et quantitatif de son travail à la tête du Ministère de l’Énergie (ME), le ministre béninois de l’Énergie, a posé un acte à la veille des fêtes de fin d’année. Comme quoi, la confiance n’exclus pas le contrôle. C’est ce qui a eu raison de Dona Jean-Claude Houssou la veille du jour du réveillon. En effet, le ministre est allé toucher des yeux les dispositions prises suivant les exigences du chef de l’État béninois, Patrice Talon sur la disponibilité de l’électricité en qualité et en quantité suffisante. Faut-il encore rappeler que Dona Jean-Claude Houssou est un homme méthodique et pragmatique. Avant de descendre ce lundi 30 décembre sur le terrain énergétique, c’est par une séance de concertation avec le Directeur Général de la Société Béninoise d’Énergie Électrique (SBEE) Jacques Paradis et ses collaborateurs et d’autres cadres du ME qu’il a commencé le programme de sa visite des sites de la SBEE. La séance s’est tenue dans les locaux du ME où les assurances verbales ont été faites à l’autorité ministérielle sur les dispositions prises pour la disponibilité et la sécurisation de l’énergie pendant les fêtes de fin d’année avant qu’elle ne descende pour la constatation. La première étape de sa descente sera la direction régionale du transport Bénin de la Communauté Électrique du Bénin (CEB), qui est une organisation d’intégration sous-régionale en charge du développement de l’énergie électrique au Bénin et au Togo. À sa base sise au carrefour Vèdoko (carrefour Cica-Toyota), à Cotonou, la capitale économique du Bénin, le ministre béninois de l’Énergie et sa suite seront bien accueillis par les responsables de la maison courant. Les explications du Chef Division par intérim de la CEB, Freddy Soglo, dans l’extrait ci-dessous sont claires comme l’eau de roche.
Si le réseau est stable à Vèdoko à Cotonou, quand est-il du côté de Maria-Gléta à Abomey-Calavi ? À sa descente sur le site de la Centrale thermique de Maria-Gléta 2, qui est le fournisseur national d’énergie électrique, le ministre béninois prend le devant de la visite du site dont il connaît bien les coins et les recoins par angle d’œil. Derrière lui, une délégation dont à sa tête le DG SBEE, qui a bien suivi au même moment que le ministre, les assurances dans l’extrait à suivre dans la salle de commande de la Centrale.
Une fois rassurée au niveau de la structure béninoise où la demande est passée de 90 MW à 105 MW voir même le plein de la capacité maximale du fournisseur énergie électrique N°1 du Bénin, la délégation a mis le cap sur la ville capitale du pays. À Porto-Novo, la Centrale de Houinmè totalement rebaptisée de son nom de musée, apporte désormais sa contribution à la disponibilité énergétique au Bénin. À la descente de la délégation conduite par le ministre béninois de l’Énergie, elle constate la disponibilité de 10 MW, selon les explications dans cet extrait.
La capitale aux trois, Hogbonou – Ajase – Porto-Novo est prête et la fête se passe bien pour les Ayinonvi sans anicroches. De même, il faut signaler que, les entreprises sollicitées par le passé pour faire produire de l’énergie à la place des Centrales, notamment les centrales d’Akpakpa, de Gbégamey, à Cotonou, et celle de Maria-Gléta à Abomey-Calavi, eh bien, ces entreprises sont aussi prêtes pour libérer les espaces qui sont très précieuses pour le Cadre de Vie avec son Projet historique appelé Asphaltage. Un responsable de l’entreprise Aggreko dont les groupes ont été loués soutient cela dans l’extrait suivant.
À la fin de cette descente de constat des dispositions prises pour la sécurisation de l’énergie pendant les fêtes de fin d’année, chacun a certainement noté ou vu quelque chose. C’est le cas du DG SBEE, Jacques Paradis dans cet extrait.
S’il est encore important de rappeler au DG SBEE que ce qu’il affirme voir aujourd’hui est le fruit d’un travail fait en espace de trois ans. En cause, dans ce laps temps, le Bénin sous l’impulsion du développeur-né, Patrice Talon, est passé de presque zéro à 160 MW. Ceci, soulignons-le, pour une disponibilité énergétique propre qui permet aujourd’hui aux béninois de vivre au paradis de l’électricité. Cela veut dire quoi concrètement monsieur le ministre champion de l’énergie au Bénin ? Car le chef du Nouveau Départ a déjà marqué une Rupture aux pratiques d’hier où on avance les chiffres mais, sans aucune explication ni détail. Dona Jean-Claude Houssou n’a pas besoin d’un document pour répondre dans l’extrait ci-dessous.
Il convient de retenir simplement que le signe du constat a été plus (+) cette veille de la Saint-Sylvestre au Bénin. Ceci grâce au respect strict des instructions du sorcier blanc en énergie arraché des mains des européens après plus de trois décennies. D’où la reconnaissance dans ce dernier extrait du fils de Porto-Novo né dans le 3ème arrondissement, grandi dans le 4ème arrondissement et construit sa résidence dans le 5ème arrondissement.
Notons que des images inédites ont marqué cette descente d’un site à un autre. Le Directeur Général de la Société Béninoise d’Énergie Électrique (SBEE) Jacques Paradis et ses collaborateurs dont le Directeur Régional Ouémé-Plateau de la SBEE, Calixte Kiti ainsi que les travailleurs techniciens sur les différents sites, ont fait des poses avec le recordman en énergie au Bénin, le ministre béninois de l’Énergie, Dona Jean-Claude Houssou, pour archiver l’importance de l’acte posé par l’homme bienveillant toujours souriant.
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