Photo : Le ministre béninois des Enseignements Maternel et Primaire, Salimane Karimou
« Le Bénin ne manque plus d’enseignants au primaire. ». Il n’a pas bégayé pour le dire, et ce, haut et fort ! Inutile de le présenter. Il s’agit bien du ministre béninois des Enseignements Maternel et Primaire, Salimane Karimou. Au cours d’une émission télévisée intitulée « La Rupture, 4 ans après : le temps des moissons », le digne fils de Sakété dans le département du Plateau, au Sud-est du Bénin, a étalé le bilan des actions menées par le développeur-né, le président Patrice Talon, dans le sous-secteur des Enseignements Maternel et Primaire. Salimane Karimou a, sans ambages, affirmé que le déficit d’enseignants dans les écoles maternelles et primaires publiques au Bénin est un lointain souvenir après quatre années de gestion de son Mentor, le chef du gouvernement béninois, le président Patrice Talon. « Le Bénin a réussi à mettre un terme à la pénurie des enseignants. », a d’abord lancé le patron du Ministère des Enseignements Maternel et Primaire (MEMP) basé à Porto-Novo, la capitale du pays. « N’en doutez même plus. Ça, c’est un problème fondamental que le gouvernement actuel a réussi à régler. », soutient-il, puis éclaire la lanterne de ces concitoyens. « Voyez-vous, le déficit d’enseignants date de plusieurs décennies. Et on a toujours eu, des solutions palliatives pour pouvoir le résoudre. Aujourd’hui, c’est abordé d’un trait et ça a été résolu. », a commencé par expliquer, le chef de fil des Ministres en charge de l’éducation au Bénin, Salimane Karimou.
Nécessité pour Patrice Talon de briguer un deuxième mandat
Sans aller par quatre chemins, le fils de Yan’sa à Sakété a déclaré qu’il n’existe plus dans le pays situé au Sud de l’Équateur, de classe sans enseignant. « Personne ne peut se plaindre aujourd’hui du fait que nous avons des classes sans enseignants. », persiste et signe Salimane Karimou. À l’écouter religieusement, il y avait eu par le passé, une réponse erronée sur la question de la qualité de l’enseignement. « Les instituteurs recrutés pendant des décennies par les communautés à la base pour régler le problème de déficit n’avaient pas la compétence requise. », a fait remarquer le ministre béninois des Enseignements Maternel et Primaire. Cette remarque, soumise à la réflexion du gouvernement de la Rupture a permis d’amorcer un Nouveau Départ dans le sous-secteur des Enseignements Maternel et Primaire au Bénin. Et quelle était la formule utilisée par le premier écolier du gouvernement du président Patrice Talon ? « Il était important d’identifier les besoins de ces enseignants pour revoir la question de la qualité de l’enseignement. », a indirectement répondu Salimane Karimou. Reconnaissons qu’aujourd’hui, il n’est plus enseignant qui veut, mais qui peut et idem dans toute la fonction publique du pays où les béninois sont appelés à servir leur Patrie. Il convient de relever que si le Bénin ne sera plus vu comme un désert de compétence, l’homme des réformes courageuses, le président Patrice Talon doit indiscutablement accepter et répondre à l’appel de ses compatriotes l’invitant à briguer un deuxième mandant pour un Bénin Révélé. Wait and see ! Rappelons que le premier mandat en cours du président béninois prend fin en mai 2021.
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