Photo : Le chef de l’État béninois Patrice Talon, ici à Porto-Novo, le vendredi 27 décembre 2019
Le peuple béninois n’oubliera jamais le musée de la corruption construit par le gouvernement précédent de l’ancien président Thomas Boni Yayi (2006-2016) à coût des milliards (plus de 42) de ses Francs CFA dans l’eau du fleuve Ouémé, à Porto-Novo, la capitale du Bénin. Un musée dont le chantier avait été lancé en 2013, mais qui est resté et restera pour toujours inachevé. Il n’est plus besoin de démontrer combien il est indispensable pour les élus du peuple d’avoir un cadre non-colonial pour bien travailler et adopter les lois au grand bonheur du même peuple. Mais grâce à l’alternance respectée à la tête du Bénin sans violences comme en Côte d’Ivoire ou au Mali, le peuple s’est délivré des mains de ce dernier gouvernement depuis bientôt cinq ans. Au jour le jour, pas à pas, l’actuel locataire du Palais de la Marina à Cotonou, la capitale économique du pays, le président Patrice Talon, conduit le pays dans un Nouveau Départ avec une Rupture totale des mauvaises pratiques d’hier. Avec des réformes très amères à avaler reconnu pas les compatriotes du Docteur du développement du Bénin, le président Patrice Talon, le peuple béninois s’est définitivement confié à cet homme qui tient un langage de vérité. C’est ce qu’a exprimé le peuple ce jeudi 3 septembre à travers ses représentants au Palais des Gouverneurs dans la capitale béninoise.
Le chef de l’État béninois Patrice Talon (G) et le président de l’Assemblée nationale, Col Louis Gbèhounou Vlavonou (D)
À Porto-Novo, en séance plénière, les députés de la huitième (8ème) Législature que dirige avec compétences et expériences, le président Col Louis Gbèhounou Vlavonou, se sont penchés sur le projet de construction du nouveau siège de l’Assemblée nationale. À l’issue de ladite plénière, il est important de retenir que les travaux de construction du nouveau siège de la deuxième institution du pays vont débuter dès 2021 pour une durée de deux (02) ans. Notons que la nouvelle Assemblée nationale sera construite sur un site de 7 hectares, notamment le domaine de l’ex-Direction Générale de la Gendarmerie Nationale (DGGN), juste à quelques pas de l’actuel siège du Parlement béninois. Un site, il faut le rappeler a été choisi par le gouvernement du président Patrice Talon après, bien évidemment, avoir commandité une étude pour la construction d’un nouveau siège sans oublier la mise en exergue du scandale de construction de ce siège de l’Assemblée nationale par le gouvernement précédent. Le budget prévu pour la construction de ce nouveau lieu de travail des législateurs est d’un coût global de vingt-cinq (25) milliards de Francs CFA, y compris les équipements. L’année du début des travaux de la construction du nouveau siège de la représentation nationale n’est pas un choix du hasard, mais un signe du cadeau d’anniversaire de l’Exécutif au Législatif. En effet, il faut souligner que l’Assemblée nationale du Bénin célèbre en 2021 le trentième (30ème) anniversaire de son existence et de fonctionnement sans discontinuité.
Soyez le premier a laisser un commentaire