Appuyez sur “Entrée” pour passer au contenu

Législatives 2023 : « Organiser cette fois-ci, un scrutin législatif exemplaire », assure Alassane Séïdou

Photo : Le ministre béninois de l’Intérieur et de la Sécurité Publique. Dr Alassane Séïdou


Plus rien ne sera comme en 2019. C’est ce qu’on peut retenir dans la prise de parole, ce mardi 4 octobre, du ministre béninois de l’Intérieur et de la Sécurité Publique. Dr Alassane Séïdou, marquant de sa présence à la rencontre d’échanges entre la Commission Électorale Nationale Autonome (CENA) et les ministères et institutions impliqués dans l’organisation des législatives de janvier 2023. Le N°1 de la défense de la paix et de la quiétude n’est pas allé par quatre chemins pour réitérer l’engagement du gouvernement du président Patrice Talon à « organiser, cette fois-ci, un scrutin législatif exemplaire ». « Cette fois-ci, notre pays est vraiment engagé. Nous voulons tout faire pour que ces élections soient exemplaires. », a assuré le patron du Ministère de l’Intérieur de la Sécurité Publique (MISP).

« Il est impossible d’organiser des élections sans contestations. »

Dr Alassane Séïdou

Le plus expérimenté des ministres des gouvernements Talon 1 et 2 est allé plus loin pour rassurer chaque participant à ces consultations électorales d’une évidence. « Il est impossible d’organiser des élections sans contestations. », souligne Dr Alassane Séïdou. « Le gouvernement s’évertuera toutefois pour minimiser les contestations. », a confié le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité Publique, sollicitant par la même occasion, l’implication de toutes les parties impliquées dans l’organisation du processus électoral. Et ceci a une raison. « Pour avoir des élections avec le moins possible de problèmes. », explique l’homme qui occupe le quatrième poste ministériel sous la gouvernance Talon. Le plus grand souhait du médecin vétérinaire est que « les résultats soient crédibles et acceptés par tous ». Un souhait, inutile de le rappeler, qui serait également celui des différentes formations politiques qui prendront part à ces élections sans oublier les institutions impliquées notamment la CENA, la Cour constitutionnelle, les Organisations de la Société Civile (OSC), et, pourquoi pas, nous aussi les garants du quatrième Pouvoir.

Soyez le premier a laisser un commentaire

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Mission News Theme by Compete Themes.