Photo : La journaliste de l’ORTB, Pélagie Soloté, ici à la présentation du JT de 20h, le samedi 16 novembre 2013
Il y a un célèbre artiste chanteur béninois qui a dit que tout peut être partagé entre parents, alliés, proches et amis, mais qu’un homme ne peut jamais partager sa femme. Ceci est aussi bien idem pour les femmes qui refusent aujourd’hui de partager leur mari. C’est ce qu’il faut simplement retenir dans l’actualité qui défraye la chronique au Bénin depuis quelques heures. Mais selon certains médias béninois, deux dames de l’Office de Radiodiffusion et Télévision du Bénin (ORTB) se seraient battues à cause d’un homme (mari pour une et amant de l’autre). Puisque « On est ensemble, mais différemment !!! », le slogan à la rédaction du journal quotidien « Différence Info », avec celle de rédaction differenceinfobenin.com du Groupe de presse « DIFFÉRENCE », elles ont la véracité des faits. Oui, deux femmes se sont mesuré leurs forces pour leur attachement à l’amour qu’elles ont pour un même homme. L’une d’entre elles est dans le viseur de la justice pour être en garde à vue au Commissariat de police de l’arrondissement de Fifadji, 9ème arrondissement de Cotonou, la capitale économique béninoise.
Pas deux dames de l’ORTB
Mais c’est l’une parmi ces dernières qui est fonctionnaire à la chaîne nationale de notre pays, ORTB. Une consœur a été citée dans cette défense de vie amoureuse. Une défense qui n’a certainement pas d’âge, et même à cinquante (50) ans (l’âge moyen des combattantes) les femmes peuvent le faire. En effet, c’est sur son initiative que les deux dames dont celle de l’ORTB, se sont retrouvées dans son domicile lieu de la scène. Notre consœur qui n’est pas concernée par le vole de mari d’autrui, avait à l’esprit d’aider les deux opposantes à enterrer la hache de guerre en leur offrant l’occasion de se réunir chez elle. Mais Pélagie Soloté, puisque c’est d’elle qu’il s’agit, ne s’était pas apprêtée pour être l’arbitre sur un ring de boxe. La journaliste exerçant à l’ORTB livre ci-dessous, sa version des faits en tant que témoin oculaire de cet événement qui, une fois de plus, a mis la maison mère de la presse béninoise sur l’orbite d’histoire de femme après celle de harcèlement sexuel.
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