Photo : Le chef de l’État, Patrice Talon, à Cotonou, ce vendredi 17 février
C’est bien normal que les béninois réclament un mandat de plus pour le président de la République. Sous la gouvernance de Patrice Talon, le Bénin se guérir méthodiquement et durablement des maux qui minent son développement, notamment la qualité de son enseignement supérieur. Personne n’est à l’abri, de l’enseignant aux parents en passant par les apprenants. Ce vendredi 17 février 2023, restera une date inoubliable dans le sous-secteur de l’enseignement supérieur. En effet, c’est le jour qui a plu à la première personnalité béninoise d’installer la Délégation Générale au Contrôle et à l’Éthique (DGCE, s’il fallait l’abréger). La cérémonie d’installation a eu pour cadre idéal, le Palais de La Marina, à Cotonou.
Basé sur deux points
Dans la capitale économique béninoise, le chef de l’État a indiqué la Rupture de plusieurs décennies de souffrance que subissent les facultés intellectuelles au Bénin. Mais le courage et l’audace de Patrice Talon viennent de remettre l’enseignement supérieur sur les rails du Nouveau Départ de son avenir meilleur. Ceci après un travail acharné dans l’ombre qui s’est basé sur deux points :
- réorganisation de la gouvernance dans l’enseignement supérieur,
- le champ de l’éthique, de la pédagogie, de la déontologie et de la qualité.
Ces deux points exposent la volonté, la détermination et l’engagement de Patrice Talon à agir pour redonner confiance aux enfants, aux apprenants ainsi qu’aux parents. Il est clair que doter le Bénin d’une Délégation Générale au Contrôle d’Éthique, c’est l’expression manifeste du retour des valeurs dans le sous-secteur de l’enseignement supérieur secteur qui reste le plus haut niveau de la formation citoyenne.
La qualité des enseignants
Le locataire du Palais de La Marina, à travers cette installation de la DGCE, envoie à chaque béninoise et à chaque béninois, le signal fort de sa détermination d’engager l’assainissement des mœurs, de promouvoir la conscience professionnelle et de veiller à la qualité du contenu des enseignements béninois. La vision de Patrice Talon est claire comme l’eau de roche : l’éthique et la qualité doivent être des mots qui ont réellement du contenu. C’est dans ce sens que l’instance qui a été mise sur pied, ce vendredi, à des lourdes missions. La DGCE assure le contrôle des enseignements et l’évaluation des enseignants du supérieur ; veille à la mise en œuvre et à la qualité des enseignements ; veille au respect, par les enseignants et les chercheurs, des obligations professionnelles et de la déontologie.
Qui mérite d’être appelé Professeur d’université ? Suivons ci-dessous, le président de la République, Patrice Talon dans ses éléments de réponse.
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