Photo : Le président de la transition burkinabè, le Capitaine Ibrahim Traoré, coupant le ruban, à Ouagadougou, ce mardi 23 janvier
Le nouveau départ du développement durable du Burkina-Faso a encore enregistré la signature du président de la transition du pays. Sous la gouvernance militaire du capitaine Ibrahim Traoré, les burkinabè sont témoins de la transformation structurelle de l’économie de leur nation chaque jour que Dieu fait. Ce mardi 23 janvier en a archivé une sur le plan industriel. En effet, le Burkina-Faso a, dès ce jour, son propre usine de traitement des résidus miniers. Une première chez notre voisin du Nord-ouest. « C’est avec une réelle satisfaction que j’ai procédé, ce matin, au lancement officiel des activités de la première usine de traitement des résidus miniers dans notre pays. », a exprimé le président de la transition burkinabè sur le réseau social X (ex-tweeter).
Valorisation de l’expertise nationale
Il faut noter que c’est un exploit burkinabè au regard de l’entièreté du financement de la réalisation cette usine supportée par le budget national. « L’avènement de cette unité industrielle, à capitaux 100% burkinabè et fruit d’un savoir-faire local s’inscrit parfaitement dans notre vision de valorisation de l’expertise nationale pour impulser le développement endogène au Burkina-Faso. », a fait savoir le Capitaine Ibrahim Traoré. Aux yeux du plus jeune chef de l’État africain, voire mondial, l’aboutissement heureux de cette fierté nationale est l’expression du patriotisme. Le premier citoyen burkinabè n’est pas allé par quatre chemins pour reconnaître cela devant ses concitoyens avec un ardent vœu. « Je salue le sens du patriotisme des actionnaires et je formule le vœu que cette usine puisse apporter sa contribution à la souveraineté économique de notre chère patrie. », a partagé Ibrahim Traoré.
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