Togo : Dr Éric Adja ouvre le 16 décembre prochain, « Le Symposium d’Aného » au profit de l’Intelligence Artificielle de l’Afrique

Photo : Le président de l’Agence Francophone pour l’Intelligence Artificielle en Afrique (AFRIA), le béninois Dr Éric Adja

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« Pour une Intelligence Artificielle (IA) éthique et inclusive au service du développement durable, de la paix et de la sécurité en Afrique de l’Ouest ». C’est bien là ; le thème d’un symposium qui s’ouvre le 16 décembre prochain à Aného au Togo. Cette importante rencontre dont l’importance n’est plus à démontrer, sera placée sous la responsabilité du nouveau président de l’Agence Francophone pour l’Intelligence Artificielle en Afrique (AFRIA), Dr Éric Adja. En effet, « Le Symposium d’Aného » se veut être l’échelle pour l’Afrique de se mettre au même niveau d’évolution numérique que connaissent les autres continents dont l’Europe, l’Asie, et en occurrence l’Amérique. Ce symposium va donc inviter les gouvernants à prendre des engagements, notamment sur la formation des ressources humaines indispensables. Également sur la mise en place des politiques publiques nécessaires permettant de transformer les défis de l’Intelligence Artificielle (IA) en opportunités pour leurs communautés.

L’un de ces défis reste bien, il faut le souligner, la cybercolonisation. Il convient de relever que la rencontre d’Aného se présente également comme un creuset où les participants auront l’opportunité non seulement d’échanger, de partager des expériences, mais aussi et surtout de nouer des partenariats, d’exposer leurs innovations et, notamment de s’imprégner davantage des enjeux et opportunités de l’intelligence artificielle en Afrique. Ceci, pour renforcer les capacités des États, autorités politiques, acteurs du secteur privé et de la société civile, dans l’appropriation de l’intelligence artificielle. Pour le président de l’Agence Francophone pour l’Intelligence Artificielle en Afrique (AFRIA), Dr Éric Adja, le béninois ne doute pas un seul instant de la réussite de cette rencontre et reste persuadé que de cette assise d’Aného, au Sud-est du Togo, frontière avec le Bénin, jaillira des solutions pour sauver l’Afrique de cette menace numérique.