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Vaccin contre l’Hépatite B : Patrice Talon sauve les enfants dès leur naissance

Photo : Le ministre béninois de la Santé, Benjamin Hounkpatin, en action, à Cotonou, ce vendredi 2 octobre 


La génération future préoccupe le chef de l’État béninois. Raison pour laquelle le président Patrice Talon et son gouvernement se sacrifient aujourd’hui plus qu’hier pour assurer une vie meilleure à cette génération demain. C’est bien l’esprit qui a animé les autorités sanitaires béninoises d’introduire le vaccin contre l’Hépatite B dès la naissance au Bénin. C’est donc une chose faite depuis ce vendredi 2 octobre où le ministre béninois de la Santé, Prof Benjamin Hounkpatin a procédé au lancement officiel de l’introduction du vaccin contre l’Hépatite B à la naissance. C’était au Centre Hospitalier Universitaire du Mère et de l’Enfant (CHU-MEL) de Cotonou, la capitale économique du Bénin. Depuis hier donc, tous les nouveau-nés recevront ce vaccin juste 24 heures après leur naissance. De ce fait, le cordon ombilical de transmission entre la mère et l’enfant à la naissance est coupé, les protégeant ainsi contre la transmission du virus au cas où leur génitrice l’aurait contracté. C’est également, il faut le souligner, la levée définitive des appréhensions des professionnels de la santé qui se retrouvent souvent face à un nouveau-né dont le statut hépatite de la mère est inconnu. Au cours de la cérémonie consacrée à cet effet, qui a connu la présence des Partenaires Techniques et Financiers (PTF), avec à leur tête le Représentant résident de l’UNICEF au Bénin, Dr Claudes Kamenga, le patron du Ministère de la Santé (MS) a fait quelques précisions.

« Chez les enfants nés de mères porteuses du virus de l’hépatite B, la prévalence de la maladie s’élève jusqu’à 55%. C’est donc à juste titre que le Bénin s’engage à offrir à ses nouveau-nés, le vaccin contre l’hépatite B pour démarrer leur protection dès les 24 premières heures de vie. »

Prof Benjamin Hounkpatin

Celui qui fait avaler les réformes bien amères, mais nécessaires du développeur-né aux béninois, a expliqué les raisons de l’engagement du chef du Nouveau Départ derrière cette action très sociale et vitale à l’endroit des enfants nouveau-nés. « Chez les enfants nés de mères porteuses du virus de l’hépatite B, la prévalence de la maladie s’élève jusqu’à 55%. C’est donc à juste titre que le Bénin s’engage à offrir à ses nouveau-nés, le vaccin contre l’hépatite B pour démarrer leur protection dès les 24 premières heures de vie. », a soutenu Benjamin Hounkpatin. L’autorité sanitaire a d’ailleurs présenté la prévalence de l’hépatite B chez les femmes enceintes qui varie de 8 à 15% en Afrique avec des chiffres plus élevés pour les pays de la région subsaharienne dont le pays que dirige avec courage et détermination, le président Patrice Talon, depuis bientôt cinq ans. Parlant de l’enfant, l’UNICEF est aux premières loges de sa défense dans le pays. La présence du Représentant résident de l’UNICEF au Bénin, Claudes Kamenga, à ladite cérémonie, a été une occasion pour ce dernier de saluer l’engagement du gouvernement du président Patrice Talon pour l’aboutissement du processus. Lequel processus s’aligne dans la droite ligne du Programme Élargi de Vaccination (PEV). Il convient de noter que la cérémonie a pris par l’administration du vaccin par le N°1 des médecins béninois, le Prof Benjamin Hounkpatin, à quelques nouveau-nés, aussi présents en tant que principaux bénéficiaires de cette action louable du président Patrice Talon qui les sauve ainsi dès leur premier jour de vie des mains de l’Hépatite B, cette maladie tueuse silencieuse.

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