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Écureuils du Bénin : Moussa Latoundji a deux matchs à diriger avant la nomination du nouvel entraîneur, une question se pose, répondez

Photo : L’entraîneur intérimaire des Écureuils du Bénin, Moussa Latoundji


Depuis le départ du technicien français, Michel Dussuyer, du banc des Écureuils du Bénin, les rongeurs sont sans entraîneur. C’est le moins qu’on puisse dire. Mais l’équipe nationale de football est avec un homme connu dans le monde du football, notamment au pays. Il s’agit de Moussa Latoundji. Cette identité béninoise est gravée dans la mémoire collective du peuple béninois depuis des décennies. L’ancien capitaine des Écureuils du Bénin qui a qualifié son pays en 2004 à la première phase finale de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) de football dans l’histoire de la Patrie, est l’adjoint entraîneur du français Michel Dussuyer. Après le départ de l’étranger, le local s’est vu confier la direction du « Onze national ». Le premier buteur béninois dans l’histoire de la CAN, n’est pas le titulaire à la tête des Écureuils.

La première et la deuxième journée

Moussa Latoundji est dans une gestion intérimaire de la sélection nationale. Porto-Novo est toujours à la recherche d’un nouvel entraîneur pour prendre les rênes des « Écu ». En effet, dans la gestion mode intérimaire du banc des quarts de finaliste de la première édition de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) de football à 24 formats, en Égypte, il y a trois ans, les autorités sportives béninoises ont décidé de laisser le compatriote diriger juste deux matchs internationaux. Il s’agit des matchs de la première et de la deuxième journée des qualifications à la prochaine CAN que la Côte d’Ivoire s’apprête à accueillir dans environ douze (12) mois. Donc après le match Sénégal-Bénin, à Dakar, et celui Bénin-Mozambique, à Cotonou, Moussa Latoundji ne poursuivra plus l’aventure à la tête des Écureuils du Bénin. Juste après ces matchs, le successeur du français Michel Dussuyer sera connu et va donc prendre le relais.

Des exemples locaux

Malgré l’échec du Sénégal à un dernier pas de son entrée dans le cercle des champions d’Afrique en 2019, en Égypte, Dakar n’a pas changé l’entraîneur local des Lions de la Téranga. La suite, l’édition précédente, le monde entier a été témoin du sacre du Sénégal au Cameroun. Justement, l’ancien capitaine des Lions Indomptables, président de la Fédération Camerounaise de Football (FéCaFoot) a aussi décidé, malgré la troisième place de son pays à la CAN 2021, de mettre un Aliou Cissé dans la tanière, à Yaoundé. Samuel Eto’o Fils a nommé Rigobert Song entraîneur. Le capitaine emblématique camerounais a qualifié les carnivores à la prochaine Coupe du Monde au Qatar avec une force locale, en Alger, face aux Fennecs devant son douzième homme. Ces deux entraîneurs locaux sénégalais et camerounais cités en référence parmi tant d’autres sur le continent, sont tous des anciens internationaux qui ont joué pour leur différent pays comme Moussa Latoundji pour le Bénin.

Question

Chers Lecteurs de la rédaction differenceinfobenin.com et celle du journal quotidien « Différence Info » du Groupe de presse « DIFFÉRENCE », voici la question à vous soumettre :

Peu importe le résultat (peut-être positif) issu des deux matchs, faut-il confirmer Moussa Latoundji ou que pensez-vous de la nomination d’un entraîneur étranger ?

Un commentaire

  1. Florent Florent 3 juin 2022

    Je préfère qu’on garde Moussa

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