Photo : Le ministre des Enseignements Secondaire Technique et de la Formation Professionnelle, Yves Kouaro Chabi, reçu par le DOB, Pr Alphonse da Silva, à Cotonou, ce vendredi 14 juin
Dans moins de 24 heures, l’examen du Baccalauréat, session de juin 2024, sera effectif. Ce lundi 17 juin, 75.373 candidats vont à l’assaut du premier diplôme universitaire sur toute l’étendue du territoire national. Comment vont les préparatifs à cet effet ? C’est pour avoir une réponse claire que les partons du Ministère des Enseignements Secondaire Technique et de la Formation Professionnelle (MESTFP), et du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique (MERS) étaient dans les locaux de la Direction de l’Office du Baccalauréat (DOB), ce vendredi 14 juin. Après une séance conjointe avec la ministre Eléonore Ladékan Yayi, aucun doute sur le bon déroulement du BAC 2024. « Tout est prêt pour le bon déroulement de l’examen du Baccalauréat, session de juin 2024 qui démarre ce lundi 17 juin. C’est l’essentiel à retenir de ma descente ce vendredi 14 juin 2024 à l’Office du BAC avec ma collègue, Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, pour nous imprégner du niveau des préparatifs de cet examen. », a affirmé Yves Kouaro Chabi.
À en croire le N•1 du MESTFP, le Bénin est un modèle qui est exporté dans l’espace de l’Union Économique et Monétaire Ouest-Africaine (UEMOA) sur le plan organisationnel du BAC. « Au niveau de la sous-région, le modèle béninois d’organisation du baccalauréat est apprécié et exporté dans le cadre de l’harmonisation du baccalauréat au sein de l’UEMOA. », a confié Yves Kouaro Chabi qui a saisi l’occasion pour « saluer les cadres de l’Office du BAC pour tous les efforts consentis pour une parfaite organisation ». Pour finir, l’autorité gouvernementale rassuré les uns et les autres que « toutes les dispositions ont été prises au niveau de nos écoles, collèges et lycées pour que les programmes d’études soient achevés ». « Nos 75.373 candidats sont donc prêts pour affronter les épreuves du baccalauréat. », a conclu Yves Kouaro Chabi.
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